Summary
Adaptation du jeu érotique de Pin-Point.
Entre un père businessman doctrinaire et un demi-frère narquois, Arata Asaoka mène une vie des plus compliquées. Fruit d’un accident de parcours, enfanté dans le déni, il tente malgré tout de faire bonne figure auprès du voisinage. Irrésolu à s’éloigner du domicile familial, il compose avec les caprices quotidiens de son paternel Genzo. Aux aurores de l’âge adulte, une chance de repartir de zéro s’annonce : Arata tombe amoureux de Koharu Hinomoto, une connaissance estudiantine. Après une brève période d’hésitation, le récent majeur trouve l’audace de se déclarer. D’abord intimidée, la jolie minois accepte finalement de lui ouvrir son cœur et l’invite même à vivre dans son studio de 15m². Le nouveau couple se découvre de nombreux points communs, dont des proches inexistants (au pied de la lettre du côté de la fille, ses deux parents étant décédés). Néanmoins, cette simple rencontre laisse à Arata une possibilité de reprendre goût en son existence.
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Un semestre s’est passé depuis la confession et aucun n’a osé coucher avec l’autre : Arata et Koharu conversent leur précieuse chasteté. C’est tout au plus si le couple s’échange quelques accolades, comme si l’un ou l’autre n’était totalement sincère dans ses ambitions en terme de plaisir ou angoissait de perdre ce moment suspendu. En parlant de plaisir ou de moment suspendu, les deux allaient effectivement être de courte durée. Sans explication, l’appartement d’Koharu brûla dans un violent feu détruisant l’entièreté de ses biens. Désemparé, le fiston supplie son père de cinquante-quatre ans de pouvoir regagner sa bâtisse, tout en hébergeant sa promise. Masaru, le frère consanguin de trente-deux ans d’Arata, est réticent à l’idée de séjourner avec un quatrième membre, qui plus est féminin et visiblement peu ouvert aux mêmes hobbies que lui.
Curieusement, non seulement Genzo tolère le retour du bâtard au bercail, il accueille sa fiancé sans la moindre condition. Histoire de remercier son pseudo beau-père pour la loger, nourrir et blanchir, Koharu propose d’être la femme de ménage de l’habitat. Celle-ci ne demandait rien en retour, mais le bureaucrate insista pour lui fournir une paie substantielle, compte tenu qu’elle et Arata aient conclues leurs études supérieures quelques semaines après leur début de relation. Cette aide permet à nos deux personnes de subvenir aisément à leurs besoins sans trouver un emploi, de rechercher un nouveau logement plus spacieux et d’envisager une licence universitaire. Le binôme s’accorde un congé sabbatique d’un an avant de concrètement se décider.
Un mois s’écoula depuis l’incendie. Leur nouveau gîte est vaste, mais les rapports entre Koharu et Arata n’ont pas su s’étendre. Vieillissant, Genzo Asaoka est devenu dépendant au télétravail, préférant diriger sa société immobilière à distance, tandis que Masaru revient fréquemment saoul, débraillé et transpirant. Ce fils aîné pourri-gâté dilapide les économies de la maison dans des bars à hôtesses et autres futilités. Arata fait toujours chambre à part, sortant du foyer pour effectuer des courses ou se rendre au manga-café, laissant sa moitié seule à jouer les domestiques en journée et à regarder ses feuilletons favoris jusque tard la nuit. En réalité, le garçon n’accepte pas que sa bien-aimée soit « immunisée » contre le caractère exécrable des deux autres membres masculins de son chez-soi. Comble de l’ironie, Koharu et Masaru sont dorénavant en bons termes, la première n’hésitant pas à couvrir les errances et autres excès du deuxième auprès de l’homme d’affaires. Au fil des jours, Arata retrouve le malaise qu’il éprouvait des années plus tôt, lorsqu’il épiait sa mère Sachie se faire allégrement avoiner par son géniteur. Ses cris de jouissance mélangés à des suppliques, son vocabulaire châtier et sa disparition du jour au lendemain le hantent plus que jamais.
Un soir, alors qu’il conclut la dernière réunion du conseil d’administration de sa boîte par visioconférence, Genzo se mit à observer scrupuleusement la fille – désormais vingtenaire – clôturer son travail ménager. Lui aussi se remémore du temps passé avec son ancienne secrétaire et maîtresse Sachie, lorsqu’elle était enceinte et en pleine santé. Il regrette que son fils illégitime refuse de s’intéresser aux mêmes préoccupations que lui, qu’elles soient d’ordre professionnel ou récréatif. Son inutilité l’exaspère, au point d’en venir aux mains avec lui. Koharu souhaite le raisonner, à n’importe quel prix. Le vieux dégarni la prend au mot et calme sa fureur en l’embrassant langoureusement, sans l’avertir. Cela faisait des semaines que Genzo rêve de passer au crible la fille aux yeux bleus, d’enlever ses sempiternels vêtements cachant mollement son tour de poitrine de 110 cm, de toucher à ses généreuses pommes d’amour, de transformer son sourire maladroit… Bref, de la façonner à l’image de sa première femme ayant enfanté Masaru et de son ex-employée volatilisée.
Tandis que sa dernière occupante le somme de reprendre ses esprits, le doyen lui rappelle qu’elle ne serait plus rien sans son intervention, et pourrait encore l’être s’il diffuse le très court extrait d’elle et lui venant de se rouler une pelle. L’ultimatum est lancé : Koharu devient sciemment sa ménesse jusqu’à nouvel ordre, ou elle assistera au désaveu d’Arata lorsqu’il découvrira la vidéo compromettante. Clairement pas habituée au machiavélisme d’un tel personnage, la jouvencelle aux cheveux châtains acquiesce et suit le dominant dans ce qu’il nomme sa « chambre forte conjugale », une des rares pièces à l’épreuve du bruit. Pour la toute première fois de sa vie, Koharu sera amenée à s’exhiber devant un homme enfin envieux de sa chair fraîche, à se faire lécher son vagin, et surtout à se faire déflorer par quelqu’un ayant plus de trente piges de différence. Lui qui se sentait bon pour la casse, Genzo retrouve sa vigueur d’antan, éjaculant jusqu’à dix-sept fois durant cette nuit blanche, la plupart directement dans sa partenaire, sans le moindre contraceptif enfilé.
Si celle-ci ressort hébétée de l’expérience, paradoxalement, elle ne paraît pas non plus horrifiée. Son seul désir fut de se doucher, alors qu’Arata l’avait peut-être entendu copuler. Fort heureusement, le garçon a eu le sommeil lourd… Il intercepte la souillée à deux doigts de pénétrer dans la salle de bain. La regardant osciller sur place, l’ignorant insiste pour la remplacer dans sa mission ménagère, afin qu’elle puisse récupérer de sa « fièvre ». Koharu sait que son initiation avec Genzo sera suivi par d’autres. Dix minutes seulement après leurs périples dans la suite parentale, le mi-quinquagénaire et sa petite-fille prolongent leur concerto, durant toute la deuxième journée, sans qu’aucun des deux ne se lavent. La partition est étoffée : gorge profonde plus faciale en tenue de maid dans les toilettes, pénétration anale par des boules de geisha puis un pénis de grande épaisseur dans la fameuse piaule à l’étage, toujours fringuée en servante, pour enfin repartir dans sa chambre personnelle, en costume de porcine, à se faire bourrer la motte à ras-bord. L’instant culminant vient lorsqu’Arata toqua à sa porte tôt la matinée, afin de juger de sa convalescence. Manifestement, sa compagne semblait aller mieux…
Avec quasiment vingt-quatre heures non-stop de roleplay dans les pattes, Koharu peine à se déplacer, principalement en raison de ses intestins acidifiés par le sperme. Étonnamment, ces mises en scènes n’ont fait qu’augmenter sa soif de curiosité. Enfin résolue à récurer sa peau graisseuse dans ses moindres détails, l’irruption du beau-frère l’amène de nouveau à suspendre l’objectif tant convoité. Pas de bol, Masaru a eu vent de ses petites escapades dans l’habitation, via plusieurs caméras-espions disséminées partout dans les lieux. Ce blond mal teinté a apprécié les nombreux soutiens de la ménagère lorsqu’il était vulnérable, et il admet qu’il serait curieux de jauger leur compatibilité au pieu. Dans son extrême magnanimité, ce dernier laisse sa nouvelle proie se reposer, en lui suggérant de venir dans sa chambrette qu’en début de soirée.
La demoiselle dort à poings fermés jusqu’au déjeuner. Par chance, Genzo ne semblait pas la solliciter. Toujours peu confiant sur sa santé, Arata recommanda à son amour de minimiser les tâches domestiques du jour. Qu’à cela ne tienne, tant elle chérit l’opportunité de s’aérer l’esprit en y astiquant le mobilier. Alors que la nuit tombe, peu avant de devoir se rendre dans le territoire de Masaru, Koharu rompt le silence en entamant le dialogue avec son fiancé. Celle-ci l’encourage vivement à l’embrasser ; elle n’obtiendra qu’un baiser légèrement plus long que d’habitude, qui la laissera cruellement sur sa faim. C’est donc onze heures après sa dernière pratique sexuelle que la demoiselle s’exécute, vêtue d’un bikini n’allant pas à sa taille, à se faire détrousser l’entrejambe par un appareil génital deux fois plus épais que son prédécesseur, toujours sans aucune protection. Le queutard libère en un seul jet ce qu’émit son balourd de père en une demi-journée.
Après une seconde projection intravaginale à la quantité séminale considérable et la voyant déjà prête à tomber dans les pommes, le beau-frère de Koharu daigne écourter l’œuvre de chair avec sa coopératrice. Il tire profit de son abêtissement pour lui soumettre un challenge : renoncer à tout moyen de pression et coucherie, du moment qu’elle résiste à la tentation de se masturber d’ici leur prochaine entrevue. Rien de plus simple en théorie, si toutefois Masaru ne lui pas avait badigeonné la peau de gel aphrodisiaque ! Produit importé de l’étranger par le daron, l’homme lui avoue n’avoir aucun indice sur son efficacité. Ainsi, c’est une Koharu zombifiée que nous regagnons à l’aube. Se sentant constamment épiée, certainement afin de vérifier le bon déroulement du challenge qui lui est imposé, elle supporte très difficilement la contrainte. Elle n’a pas dormi de la nuit, et le moindre instrument ou aliment aiguisé lui fait instinctivement penser à un copieux phallus.
En fin d’après-midi, la jeune femme entreprend l’opération de la dernière chance, à savoir inciter son idylle à lui faire sauvagement l’amour. Arata ne sait trop comment réagir devant une telle demande, se remémore le calvaire de sa mère et opte pour une excuse complètement inadéquate, en remettant la fameuse fièvre d’avant-hier sur le tapis. Puis l’indécis fuit rapidement la pièce, laissant sa copine sur le carreau. Alors qu’il s’évertue à identifier la source du raffut résonnant à l’étage, Arata se voit interrompre dans sa quête par le frangin cavaleur, lui prévenant qu’il a percé un trou sur le mur porteur de son cagibi, adjacent au sien. La lune est maintenant bien haute dans le ciel : que donne le résultat de ce petit défi ?
Quand bien même l’interdiction de se caresser soit pleinement honorée, la fille a perdu la force de se battre psychologiquement. Aussitôt engouffrée dans l’antre de Masaru, elle confirme sa volonté propre d’être son esclave sexuelle et à réaliser absolument tout ce qu’il lui passera derrière la tête. Le junkie achèvera de la convaincre en lui déclarant sa flamme, avouant qu’il a eu le coup de foudre dès leur première rencontre et qu’il a misé entièrement sur ce projet de conquête. Il est d’ailleurs disposé à renoncer à tous ses flirts et à se ranger officiellement auprès d’elle. Cela conforte la névrosée dans sa détermination à vendre profusément sa personne et d’engendrer activement une progéniture de la part de son nouvel amant. La nouvelle nuit se passa sous l’œil vigilant d’Arata, abasourdi d’apprendre le virage à 180° entamée par l’infidèle.
Le soleil se lève. Faisant mine d’être parti vadrouiller, Arata ferme son sanctuaire à double tour et se cramponne sur son ordinateur portable, à éplucher tous les enregistrements caméra montrant sa douce se faire démantibuler de partout. C’est aussi par ce biais que le père remarqua la chaude-lapine porter la même mini-rose violette sans manches que portait Sachie ; il comprend automatiquement que son blond de fils se l’est approprié. Fatalement, dès le milieu de matinée, les deux hommes se disputent l’appartenance de leur protégée. Nettoyée sommairement, parée à s’exécuter dans sa nuisette en dentelle rouge, Koharu entend les décibels grimper, dévale les escaliers vers le living-room puis s’interpose entre les deux râleurs. Ne souhaitant pas que la relation s’envenime davantage, elle s’offre pour un plan à trois, dans la suite parentale insonorisée. Le voici, le point de non-retour pour notre nymphomane, qui va se livrer à moult fétichismes en l’espace de quelques heures. Galoches salivantes, bukkakes poisseux, double-pénétration de tous les orifices, dispersion d’urine, sexe oral avec les plus fortes gorges profondes exercées, insertion d’un vibromasseur XXL… Chacun va même jusqu’à ingérer des cocktails de médicaments pour décupler sa propre fertilité. Impossible pour ce trio d’aliénés de quantifier les émissions respectives, qui oublia très vite le différend à l’origine de ces ébats.
La pérennité généalogique des Asaoka s’avérait somme toute acquise. À jamais dispensable, Arata fut sommé le jour d’après de quitter la demeure, instance formulée conjointement par son père, son beau-frère, mais également Koharu. Reconnaissante de l’avoir orienté vers son entourage, la vénale lui balance à la figure toutes ses économies, afin qu’il puisse finir sa vie ailleurs. Pour se mûrir d’expériences nouvelles, Koharu doit impérativement se séparer de ce mou du bulbe. Trop tard pour les sentiments, les centimètres priment ! La sauterie organisée sur le tard avec les collaborateurs professionnels du beau-père conclura l’orientation désirée par la satanée salope. Comme des fauves en période d’extrême chaleur, c’est purement gratuitement que Genzo et Masaru étanchèrent à plus de quarante reprises tous les trous de leur vachette aux énormes mamelles, sous une audience en liesse uniquement autorisée qu’à expulser des litres de lait tourné sur son pelage flairant bon la chienne mouillée.
Se succédèrent neuf autres mois. Arata vit en reclus dans un misérable deux-pièces. S’il est à l’aise financièrement jusqu’à ce qu’il devienne grabataire, il est définitivement brisé mentalement. Il n’a désormais que pour seul contact avec l’extérieur les DVDs envoyés par Masaru, exposant une sélection des meilleurs échauffourées avec sa conjointe légale, déformée par la superfécondation hétéro-parentale, à un cheveu d’accoucher de plusieurs chérubins de ses deux mâles alphas. Le devenir de l’hyper-compulsive demeure incertain. Mais peut-être est-ce dont une femme a le plus besoin au fond : se sentir utile envers son prochain en usant de ses atouts primaires…
Crédits résumé : WESSO