Adaptation du jeu érotique par Bishop.
Kengo Ishizuka fait partie des enseignants ayant la chance de travailler dans le lycée même où il fut diplômé. Malgré une réputation discutable et un palmarès de mutations curieusement élevé, le semi-quadragénaire se voit confier dès son arrivée au campus d’Aosaka la garde d’un bâtiment désaffecté, dont il parvient à repousser sine die la démolition. Voyant là l’opportunité d’exercer son satyrisme dans les meilleures conditions, il entreprend de transformer l’endroit qu’il a fréquenté adolescent en véritable terrain de jeu sexuel…
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Pour sa chasse hors norme, Kengo choisit comme gibier de départ Saki Morimiya, une étudiante de Terminale. Il prétexte un recadrage justifiant le déplacement de l’incriminée dans une classe dite « de cours intensifs », seule et sans programme défini. Une proposition lunaire, pourtant consentie d’emblée par le proviseur et la circonscription préfectorale. Après avoir filmé en toute impunité ses premiers ébats avec sa nouvelle élève, l’homme épluche son dossier scolaire et déterre un passif datant de deux décennies, coïncidant avec son baptême dans le monde de l’éducation. Aussitôt, monsieur Ishizuka pressent que cette découverte sera le moyen de pression idéal pour proser commodément avec la fana de recueils poétiques.
Au lendemain de l’acte, Arisa Tsuiji s’insurge contre une Saki mentalement fébrile, qui renonce à ses fonctions au comité de lecture et quitte le club de littérature que les deux jeunes femmes fréquentaient. La fille de première année est convaincue que ce choix n’est fait que pour que sa meilleure amie se focalise sur ces mystérieux cours particuliers. Cela ne décourage pas Arisa, qui pénètre dans l’ancienne aile administrative le soir même, dans l’expectative d’en apprendre davantage. Hélas, rapidement interceptée par Kengo et trop fière pour assumer son effraction, la twintail écarlate se conforme à l’ultimatum lancé par le malfaisant. En dépit d’un premier contact buccal insatisfaisant, la tsundere se révèlera finalement considérablement plus performante que son aînée. Capable d’encaisser pléthores d’humiliations grâce à sa force de caractère et son corps élastique, la quasi seize piges dépassera les espérances de son savant fou, devenant son sujet de manipulation majeur. Persuadée d’avoir remplacé Saki, Arisa n’en a qu’espacé les assauts. Cela permettra au professeur d’étendre ses pratiques avec sa première cible de jour, puis la seconde tard le soir, en dehors des heures de cours, sans qu’aucune des deux ne soit tenue au courant de sa situation respective.
Dix jours après cette nouvelle configuration, c’est Mikako Majima, une institutrice de lettres, qui capte l’attention de l’instituteur Ishizuka. Récemment engagée chez Asaoka, cette trentenaire casée bien en chair est déjà fortement plébiscitée par le corps étudiant et le personnel. Ce degré d’influence pourrait nuire aux plans du sordide maître d’école, mais le magnétisme de la belle lui confère un potentiel érotique supérieur à celui des deux dernières victimes, qui, quant à elles, apprennent les fondamentaux sur le tas. Trésorière du club dont Saki et Arisa étaient membres, le vicieux tire parti de sa malléabilité pour l’appâter dans son sirupeux sanctuaire délabré en début de soirée, employant un spray aphrodisiaque suffisamment puissant pour faire enchaîner les orgasmes à la plus sceptique qui soit. Le conspirateur se risque même à faire intervenir le conjoint de la blonde. Avant que minuit ne tombe, Mikako devint la troisième esclave sexuelle de l’école, abâtardie par un pénis en constante érection. Son endoctrinement permettra d’ailleurs au fanfaron d’avoir la mainmise sur la bourse dédiée au local de livres, en plus des économies du ménage Majima, maintenu par un mari trop soucieux de perdre la face en public ainsi que son emploi de cadre.
Trois autres semaines plus tard, ce sont après des dizaines de séquestrations séparées, de permutations et de coïts qu’arrive l’ultime confrontation pour les trois soumises. Afin de commémorer fastueusement sa vingtième année d’enseignement, Kengo organise une orgie privée dans son point de chute redécoré pour l’occasion. Loin d’être gratuite, cette action du génie du Mal convie à l’événement deux fils-à-papas de gens haut placés dans le rectorat, garantissant ainsi son maintien dans la profession. En échange, ces étudiants en faculté disposeront d’une nuit entière pour copuler avec Arisa la teigne et Mikako la vorace, de la manière dont ils le souhaitent, quitte à les engrosser, faire participer leurs proches ou les prostituer par la suite.
De son côté, le gardien des lieux en profite pour s’approprier Saki. Il brise à jamais sa dernière barrière psychologique en faisant intervenir Rie Morimiya, génitrice de la jeune brunette. Rie fut une des toutes premières conquêtes estudiantines de Kengo, enfantant Saki peu après avoir atteint la majorité. Mais comme beaucoup d’autres après, le coureur de jupons se lassa de sa proie alors en pleine gestation ; il convola ailleurs, l’oubliant et niant toute responsabilité. Ces retrouvailles à l’ambiance incestueuse permettent au bonhomme de s’adjurer pleinement des deux femmes, aussi bien par bête amusement que dans la pure volonté de se reproduire.
Aucune intervention extérieure ne vint troubler ces moments suspendus. Chacun le vit insoucieusement, dicté par ses instincts primaires, récoltant sous différents degrés le fruit de sa naïveté. Le culot de Kengo Ishizuka l’autodidacte paya. Avec sa petite secte, il concrétise de plus belle le rêve de s’adonner à toutes sortes d’élucubrations, sans loi ni aucun tabou. Du moins, d’ici à ce qu’il délaisse ses joujoux pour repartir faire mumuse ailleurs, au travers d’une énième et inévitable mutation…
