Adaptation des doujinshis de Gagarinkichi (du cercle Golden Berserker).
Être femme au foyer possède ses bons et mauvais côtés. On peut aimer la stabilité, au prix d’un train-train quotidien vite lassant. Lorsque un élément perturbateur change nos habitudes, cela peut devenir compliqué, mais également salutaire… Voire même bouleverser notre vie à tout jamais. Voici quelques histoires de demoiselles triées sur le volet partageant la même finalité, qu’elle soit aussi épuisante que fructueuse sur le moyen terme.
1er épisode – Mon neveu et son toucher unique
Hitomi Fujino a 31 ans. Mariée depuis bientôt trois ans avec un expert-comptable pour une entreprise industrielle, son quotidien se résume aux tâches ménagères basiques et au bien-être du logis. C’est le calme plat chez les Fujino, et pas forcément d’un point positif. En plus de trente mois, aucune véritable tentative du chef de maison pour que sa compagne accouche d’un premier enfant, peu de temps libre pour que l’homme se dédie à sa femme tellement celui-ci est phagocyté par son travail… Hitomi n’ose pas lui dire, mais elle aimerait qu’un coup de pouce propulse leur relation conjugale. Et justement, son conjoint va peut-être lui amener l’amorceur, avec l’intervention de son neveu Masaru, sur le point d’effectuer sa première année dans un lycée privé. En effet, son oncle lui a proposé de vivre quelques temps aux côtés de lui et de sa femme Hitomi, histoire qu’il soit à proximité de son établissement et déniche sereinement un point de chute convenable.
Masaru n’est pas vraiment animé par les études ; il préfère se cultiver dans les vidéos pour adultes, les articles en ligne et autres références basées sur la sexualité. Ceci dit, ce n’est pas un coureur de jupons pour autant. Il est réaliste, se contentant de guetter la personne idéale, quand bien même cela doit rester purement physique. Dès son arrivée au toit des Fujino, le blondinet se retrouve captivé par la généreuse silhouette que lui exhibe sa tante. L’idée de vivre auprès d’une dame prévenante et malléable, du double de son âge et dans une situation financière stable l’intéresse fortement, même si cela doit troubler la sérénité du couple. Néanmoins, il sait que sa présence se veut temporaire ; la carte de l’adultère s’avère inévitable. Le garçon profite de l’absence de son oncle dès le premier week-end pour proposer à Hitomi de l’éloigner de ses engagements de femme au foyer, en l’essayant à une technique de massage qu’il a trouvé en épluchant les articles d’expertise santé sur son téléphone portable. La brune trentenaire se laisse faire, mielleuse et gentille comme jamais ; inévitablement, la belle va rapidement se faire entraîner par son neveu dans une spirale de débauches dont elle n’aurait sans doute jamais eu l’idée de concrétiser avec son époux…
2nd épisode – Ma femme et son job parallèle
Yoko Nitta a 26 ans. Cette femme au foyer est mariée depuis trois ans avec Tomohiro, un agent administratif en CDD. Le couple ne roule pas sur l’or ; aussitôt que Yoko finit d’épousseter le deux-pièces, elle file écumer les supermarchés pour dénicher de la nourriture à prix discount. Madame Nitta est une personne dynamique toujours prompte à bien faire pour rendre son homme heureux. Toutefois, ce quotidien à flux tendu est difficile à tenir, notamment pour son Tomo chéri, rongé par la fatigue et éprouvant un désintérêt grandissant pour son travail. Tandis qu’il doit faire l’impasse sur une prime mi-semestrielle qui aurait soulagée quelque peu leurs finances, Yoko se résout à prendre un boulot de son côté. Un tour dans les petites annonces en ligne, et la rousse trouve son bonheur : un job manuel d’aide-ménagère dans un quartier aisé, pour un salaire d’appoint basé sur l’activité fournie. Cela tombe bien car non seulement elle a fréquenté le coin jadis, elle a déjà l’expérience du métier, s’étant occupée de personnes âgées lors de ses études en alternance.
Cependant, plusieurs années ont passé depuis ; l’endroit est méconnaissable et Yoko se perd dans un carré d’immeubles fraichement construit. Elle arrivera finalement avec dix minutes de retard chez son embaucheur et client, Bae Sashima. Surprise bienvenue : il s’agit d’un jeune adulte auto-entrepreneur. Si l’appartement de luxe du garçon semble pas mal bordélique, Yoko entend bien appliquer la doctrine du travail bien fait. Sur le point de terminer sa première journée avec enthousiasme, la femme de ménage marche sur une clé USB, la cassant net. Pire, monsieur Sashima rajoute davantage de pression à la belle, en lui annonçant que le contenu de cette clé renfermait des données confidentielles cryptées d’une somme estimée à dix millions de yen. Néanmoins, le bonhomme paraît suffisamment compréhensif pour lui proposer d’emblée une solution. En plus d’être toujours rétribuée en assurant l’astiquage des lieux, Yoko remboursera les dommages causés par sa maladresse via un second job parallèle consistant simplement à « entretenir » son employeur. La définition du cadeau bien empoisonné…
