Adaptation du jeu érotique de Waffle.
Shujinkou, animé par une haine profonde, observe l’académie de prestige pour filles où étudient les figures politiques et économiques les plus puissantes de l’Archipel. Son regard trahit le ressentiment et les désirs tordus qu’il nourrit à l’encontre de cet établissement. Cette haine porte une origine très sombre : Shujinkou se retrouve être l’enfant non désiré et négligé de son père, riche bureaucrate et proviseur de ce luxueux bâtiment élitiste.
Dans ses jeunes années, le garçon vivait aux côtés de sa mère, dans une maison en état de délabrement avancé. Le paternel n’avait aucun temps à leur consacrer, se contentant d’envoyer le strict minimum afin que le duo subvienne à leurs besoins. Désespérée, malade et inquiète quant à l’avenir de son enfant bientôt adolescent, la dame décide de se rendre au dortoir de son mari. Elle se fait refouler et perd sa maigre pension au passage. Peu après, celle-ci meurt dans la misère la plus totale.
Shujinkou finit miraculeusement par devenir pleinement autonome, guidé par l’esprit de vengeance. Désormais jeune adulte, celui-ci n’a qu’un objectif : détruire l’école que son géniteur avait fondée. Néanmoins, l’homme tient à ne pas commettre la même erreur que sa défunte parente. Alors qu’il médite son approche idéale aux abords de ladite « Excellence », une mystérieuse femme apparaît et lui remet une montre-gousset sophistiquée. Bien qu’il se méfie de cette pseudo-bienfaitrice désintéressée, cet outil providentiel — capable de geler le temps dans l’espace ou sur des individus spécifiques — décuple sa motivation.
Désormais armé de ce pouvoir, Shujinkou élabore un plan simple et brutal pour ruiner la réputation de l’académie : faire des étudiantes ses marionnettes sexuelles. Ces victimes seront à la fois inanimées par l’arrêt du temps et pleinement conscientes de leur propre impuissance. Afin d’initier sa phase de vengeance sous les meilleures auspices, le fils bâtard choisit ses propres demi-sœurs, Hina et Kanako Tachibana, les filles légitimes de son richard de père, comme premières cibles…
