Série filler à Inyouchuu Shoku, sur l’essai de Chaccu (Mikemoto) et d’après l’univers de TinkerBell.
Mikoto Shiratori, sa sœur jumelle Takeru et leur amie Sui Kayama sont des chasseuses de démons d’élite rattachées à une organisation spécialisée dans le combat contre les forces occultes. Afin d’élucider une série d’enlèvements, le trio est envoyé sur l’île d’Ōgami, aussi surnommée l’Île de l’Oubli. La mission tourne rapidement à la catastrophe. Croyant tirer un trait sur leur existence, les demoiselles sont piégées et plutôt séquestrées au plus profond de galeries souterraines. Avec d’autres professionnelles captives, les sœurs Kikuka et Ouka Tsukishiro, elles sont réduites au rôle d’hôtes matricielles pour le Seigneur des Démons et ses sbires. Une dizaine de jours s’écoule sans qu’aucun secours extérieur ne soit en vue.
Le cauchemar des jeunes femmes est d’un supplice absolu : soumises à une multitude de perversions sans nom, forcées de copuler avec une pléthore de créatures et d’animaux dans une fureur sexuelle et démoniaque quasi-perpétuelle, avec la semence pour unique source de nutrition… Ce régime forcé a déjà conduit le trio à enfanter des dizaines de progénitures mutantes aussi variées que répugnantes. L’horreur prend des formes spécifiques et dévastatrices : les sœurs Tsukishiro, épuisées et à bout de forces, produisent depuis des semaines des milliers de larves ne servant qu’à nourrir l’armée démoniaque. Complètement aliénée, Takeru impose à sa grande sœur Mikoto des actes d’inceste ignobles. Quant à Sui, sa virginité reste curieusement préservée, mais ses seins ont été contraints de devenir le lieu de gestation d’incestes hermaphrodites. Certains de ces rejetons s’y accouplent déjà activement à l’intérieur, déformant une poitrine qui ne cesse de croître, devenue plus gigantesque que son propre torse et la rendant presque impotente.
Malgré l’asservissement, la déchéance et la prolifération incessante des entités engendrées par leur simple chair, ces jeunes femmes s’accrochent désespérément, qu’elles en aient conscience ou non, à l’espoir fragile d’une délivrance…